Les sous-secteurs dans “Services aux entreprises”
Il s’agit de :
- Solutions apportant une réelle plus-value en promouvant la sobriété et la durabilité. Par exemple :
- Une solution facilitant la location de biens
- Une solution facilitant le réemploi de biens via des dons et du reconditionnement
- Une solution limitant le gaspillage alimentaire via la distribution d’invendus
- Services permettant aux entreprises d’évaluer leurs impacts environnementaux et de les accompagner dans leur réduction. Par exemple :
- Logiciel de pilotage de ces indicateurs / mesures RSE
- Services permettant de mettre en avant des campagnes d’informations responsables et durables pour sensibiliser à des comportements moins émetteurs de CO2
NB : Nous vous invitons à regarder pour quels types d'acteurs et de projets ces entreprises travaillent. Cela vous permettra de juger de leur contribution à la décarbonation réelle de notre économie. Par ailleurs, les sociétés de services notamment sur la conception d’applications ou de sites webs, hébergements éco-conçus, low-tech ou dits bas carbone ne sont pas référencées pour le moment sur Shift Your Job.
De telles sociétés répondraient aux critères suivants:
- Les salariés sont formés aux principes de l’écoconception. Exemple: tous les salariés des équipes produits et techniques, de plus d’un an d’ancienneté, ont obtenu une certification reconnue comme par exemple la certification "Eco Conception de service numérique" de GreenIT.fr
- L’ensemble des missions intègrent un objectif d’éco conception. La société a des références significatives dans le domaine, depuis plusieurs années, et est en mesure de joindre ces références
- La société est engagée auprès d’un collectif engagé sur le numérique responsable pour partager et bénéficier à tout moment des meilleures pratiques. La société est engagée auprès du Collectif conception numérique responsable de GreenIT.fr , du consortium NegaOctet ou autre initiative reconnue.
Nous considérons qu’il s’agit de nouvelles pratiques très positives qui doivent absolument se généraliser. Pour autant ces activités, à défaut de s’inscrire dans des schémas de rupture permettant de générer des économies substantielles de CO2, ou de procéder à des sélections drastiques basées sur l’utilité sociétale des applications développées, ne participent pas a priori à une trajectoire crédible de transition limitant le réchauffement climatique en deçà de 2°C. C’est à ce titre qu’elles ne sont pas référencées.